S.Les-Dessous-de-rOmance - [S.]http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.frEst-il obligatoire de dire Oui, même lorsque l'on pense tout simplement Non?CowblogfrWed, 20 Apr 2011 12:32:57 +0200180http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/son-sourire-18-3102257.htmlSon sourire (18)Puisqu'elle ne savait que faire, elle lui rendit son sourire.

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3102257.htmlWed, 20 Apr 2011 12:32:00 +0200http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/son-sourire-18-3102257.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/s-il-y-a-des-barrieres-17-3099056.htmls'il y a des barrières (17)Les barrières que l'on se met dans la tête sont bien souvent des chemins que l'on se crée afin de ne pas se perdre...

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3099056.htmlThu, 07 Apr 2011 11:54:00 +0200http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/s-il-y-a-des-barrieres-17-3099056.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/place-aux-merveilles-16-3099022.htmlPlace aux merveilles (16)Je n'ai pas écrit. Je n'étais pas bien. Tout va mieux. Tout passe et tout change, il faut s'y faire.

Monsieur le pied droit d'Alice,
Tapis du foyer,
Près du pare-feu
Tendrement, Alice.

[Alice au pays des merveilles, Lewis Carroll]

[S.]

 

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3099022.htmlThu, 07 Apr 2011 10:43:00 +0200http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/place-aux-merveilles-16-3099022.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/pink-floyd-15-3087633.htmlPink Floyd (15)I wish you were here...]]>http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3087633.htmlSat, 19 Feb 2011 00:52:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/pink-floyd-15-3087633.htmlhttp://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/obsession-14-3087320.htmlObsession (14) 
Enorme. Ca recommence. Ca n’a jamais cessé. Comme si cette putain de balance mentait. Toujours. Comme si, tout simplement, pour me trahir, elle divisait constamment par deux la réalité. Je ris, je ris beaucoup… de moi. Je ris beaucoup de tout ça. Il le faut bien. J’ai cru pouvoir dépasser tout ça. Ce cataclysme, ce néant qui dirige ma vie. J’ai cru avoir vaincu, vaincu cette absurdité folle, vaincu cette catastrophe avec force. Je me suis menti. Chaque jour c’est pareil. Je le sais. Et je doute que cela cesse. Un jour, pour toujours. Je n’en parle plus, ou presque plus. Ca ne sert à rien. Je les ai épuisé, je les ai énervé, je le sais. Alors je ne dis plus rien. Je ne me regarde plus. Ou plus trop. Je suis insatisfaite. Je vois tous les défauts. Je ne retiens que les défauts. Je ne relève que le mauvais. Que ce qu’ils font remarquer. Que ce que leurs yeux traduisent. Je suis perturbée. J’ai pensé, pendant un court instant, que ce serait simple. Que tout ça allait s’enfuir, me foutre la paix. Que j’allais m’aimer de nouveau. Quand j’y repense, quand je repense à avant, à comme j’étais, à comme je le vivais, j’ai du mal à comprendre ce qui s’est passé. Ce qui a pu me rendre ainsi, comme je suis maintenant. Celle que je ne n’aime pas. Je ne sais plus quand ça a commencé. Je ne sais pas ce qu’il m’est arrivée. Je sais juste que rien ne passe. Que les rituels sont toujours là. Que chaque matin c’est pareil. Je déteste les regards des autres qui se posent sur moi. Je vis dans une bulle où il y a seulement mon poids, non pas mon poids… l’image que j’ai de moi, de lui et moi. Nous sommes toutes les deux en conflit infini. Qui ne cesse jamais. Et je me demande comment je peux continuer quand je vois les larmes qui ont coulées, comme j’ai pu avoir peur, comme je me suis trouvée folle, un court instant. Un petit moment de répit. Et l’absurde à présent, c’est que je maîtrise. Je maîtrise tout. Le sourire du mensonge sur mes lèvres trop fines, la démarche assurée d’un corps instable, le devoir de manger et le manger par plaisir, l’anti image, celle que je donne aux autres de moi. Je maîtrise comme jamais. Tout. Sauf cette obsession constante, à chaque fois que je croise mon reflet, à chaque fois que je me déshabille, à chaque fois que je monte sur une balance, à chaque fois que je mange. Une obsession réelle, tenace. L’impression que c’est elle qui me tient en vie. Me raccroche à leur monde.
Et j’ai peur. Peur de la laisser m’envahir. Peur de baisser les bras. Peur de tomber les armes. Peur que petit à petit, elle gagne sur moi. Peur de perdre la maîtrise. De la laisser me vaincre. De m’enfermer avec elle. De me couper de vous. De me couper de tout.  

 
[S.]

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3087320.htmlThu, 17 Feb 2011 16:46:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/obsession-14-3087320.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/parce-qu-il-y-a-eu-un-silence-de-trop-13-3086588.htmlParce qu'il y a eu un silence de trop (13) 

Tu t'accroche à mon coeur
La violence de tes mains
De tes mains sur mon corps...

[S.]


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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3086588.htmlTue, 15 Feb 2011 00:27:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/parce-qu-il-y-a-eu-un-silence-de-trop-13-3086588.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/avec-un-grand-a-12-3082915.htmlAvec un Grand A (12)Toi... Tu es un cadeau tous les jours...

22.01.11

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3082915.htmlMon, 31 Jan 2011 13:44:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/avec-un-grand-a-12-3082915.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/coupee-du-reve-11-3081826.htmlCoupée du rêve (11)Qu'est-ce qu'on a fait au monde?  Quel drame a-t-on commis? D'où vient cette course à la montre? Cette course pour le mépris? Qu'est-ce qu'on a fait à la terre? qu'est-ce qu'on a fait à ces êtres? A l'innocence des enfants, à leur plaisir à rire? Qu'est-ce qu'on a fait? Putains de terriens, putains d'humains. A quoi on a pensé toutes ces années? Tous ces millénaires entretenus à nous entretuer. A quoi on a pensé, en oubliant nos rêves, sublimant la réalité? A quoi on a joué, seulement pions dans cette grande chaine, comment on a pu croire gagner. L'homme. Dans tout ce qu'il est, la guerre et le sang, le pouvoir et l'argent. L'homme, vicieux et pervers, tordu en enfer. L'homme. Nous. Hommes du second millénaire.

Je me demande bien, ce qu'on a fait de l'amour, où est passé le toujours? Je me demande bien si l'homme est vraiment doué de conscience, supérieur d'intelligence. Je me demande bien ce qui nous permet de dire ça. Peut-être que les fourmis se moquent de moi. Se moquent de nous. Peut-être qu'elles se marrent de nous voir pleurer, de nous voir hurler sur notre condition, chercher l'impossible au défit du réel. On dit ''Heureux les simples d'esprit''. On ne leur en a pas attribué, elles doivent se marrer. Rire de nous à n'en plus finir.

Je me demande bien où on va. Quelle sera la porte de sortie. Je me demande Bien si un jour on donnera du pouvoir à l'amour. Si le respect verra le jour. Si les phrases des grands hommes trouveront enfin un sens au milieu de la cohue qui leur a donné le jour. Si on atteindra une réelle réflexion sur nous-même. Si on comprendra enfin notre faiblesse. Mais j'en doute.

Réduit au statut d'homme. Réduit à l'intelligence, à la reflexion qui nous coupe les ailes. Qui nous envahit. Qui nous coupe du rêve.
[S.]

 

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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3081826.htmlThu, 27 Jan 2011 14:36:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/coupee-du-reve-11-3081826.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/et-toi-tu-creves-10-3076940.htmlEt toi tu crèves (10)Tu es allongée, sur un lit d'hôpital. La morphine coule dans tes veines. Tu t'épuise, tu t'étouffe, tu t'écroule. Nous, nous rions, mangeons, parlons... Et toi, tu crèves.

Si tu savais comme je m'en veux de mettre un point d'honneur sur ma vie, de me concentrer sur mes études. Au lieu de t'accompagner vers la mort.
 
[S.]


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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3076940.htmlMon, 10 Jan 2011 16:02:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/et-toi-tu-creves-10-3076940.html
http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/femme-objet-9-3074967.htmlFemme Objet (9) 

 

Femme-objet. Ta femme-objet. Ton délire. Ton désir. Ton extrême stupidité. Ta sensualité névrosée. Je me souviens. La première fois. La toute première fois. Ton regard qui cherchait le vide. Et tes phrases. Tes phrases vides de sens. Dépourvues d’amour. Ta femme-objet. Comme cette chose bien à toi sur laquelle tu pouvais poser ta main en t’endormant. Ton insanité masculine. Tes envies félines. Ferme les yeux. Devant. Derrière. Couchée. Debout. Tais-toi. Ton besoin d’être rassuré sans cesse. Ta mollesse. Tes cris. Mes cris de rage. Mes écrits de larme. L’arme. Ton arme. Tu ne sais t’en servir. Terrorisé. Par toi-même. Blocage Psychique. Subir. Ta femme-objet. Tes mains. La crasse. La crasse dans tes yeux poisseux. Fantasme de devenir un homme. Ignoble. Fantasme assouvi. 800 jours. Ne rien voir. Combien de minutes ? Sept maximums. Devant. Derrière. Debout. Couchée. Tes râles de plaisirs. Ta stupidité. Mon mimétisme. Très affuté. Et tes mots. Tes mots sans sens. Vides. Comme toi. Tes phrases. Pour toi. C’est ce que tu penses. Ce que tu pensais quand on s’est quitté. Ta femme-objet. Tu as cru faire de moi celle là, celle que tu voulais. Tu t’es trompé. Je ne suis pas femme-objet.
Homme-objet. Rions. Un peu. Juste pour le plaisir. Le plaisir de te détruire. Dans ma tête. Une explosion. Des morceaux de toi partout. Et du sang. Ton sang pour mes larmes. Ton sang pour mon arme. Homme-objet. Tromperies. Sans-cesse répétées. Dans le geste. Et si tu savais mes pensées. Les autres. Hommes-objets. Devant. Derrière. Debout. Couchée. Toujours une petite pensée pour toi. Qui t’y croyais tellement. Qui t’y croyais déjà. Main mise sur moi. Jamais. Volage. Peut-être. Trahis. Certainement. Mais comment ? Homme-objet. J’ai fais de toi mon homme-objet. Sans te douter de rien. Au final. Je t’ai niqué. A ton propre jeu. Dans ton dos. Je t’ai baisé. Comme tu semblais si bien le faire. C’est moi qui l’ai fait. Homme-objet. Si tu savais. Comme j’ai pu rire de toi. Comme j’ai pu te maudire. Insensé. Tout ça pour ça. Pour rien. Juste pour le plaisir de t’achever.  J’aurai du te dire ça en te regardant droit dans les yeux. Si je n’avais pas eu pitié. Tu as été dès le début un challenge. Tu l’es resté. J’ai des fois cru à l’amour avec toi. Mais je me suis trompée. Je t’ai trompé. Et maintenant. Les regards vainqueurs que tu m’adresse. Au détour d’une rencontre insolite. Ca me fait marrer. Comment as-tu pu y croire ? Comment as-tu pu croire avoir gagné ?  Et toi. Tellement porté sur toi. L’autosatisfaction t’a trahi. Tu n’as rien vu. Idiot. Et toi qui pensais avoir gagné. Tu as été mon jouet. Mon homme-objet.

 

[S.]


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http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/commentaires-3074967.htmlTue, 04 Jan 2011 11:42:00 +0100http://s.les-dessous-de-romance.cowblog.fr/femme-objet-9-3074967.html